« Un jour viendra couleur d’Orange,…Un jour comme

« Un jour viendra couleur d’Orange,…Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche »

Ce matin , j'ai embrassé le Parti Communiste.

J'avais admis tel Ivon Collin ( Journal d'un instituteur de campagne ) être un " absentéiste présent " en matière de politique. Mais les choses changent ou du moins se déroulent, question de point de vue;

Pourquoi un parti aussi engagé ?

Né d'une famille ouvrière tournée vers le socialisme, j'aurai pris cette voie,

Sauf que dans un monde, ou trouver sur la figure d'autrui, un sourire, relève du combat; cela m'exaspère. L'humanité tel un prisme, se renvoie des rayons de haine aux travers des nations de chaque continent et à l'aube; de ce qui pourrait ressembler à , ou être un nouveau conflit dévastateur par la volonté des pouvoirs radicaux d'extrême droite; notamment à émanciper l'Europe d'une centralisation des pouvoirs politiques*.

Je ne peux et n'admettrais que le monde dans lequel je suis confronté à vivre ne se détourne d'avantage, vers des valeurs anarchiques tel le que le capitalisme.Nous ( contemporains ) ne pourrons changer la face du monde, il en va de la certitude. Mais il me semble qu'en une vie, nous pourrions donner un regard plus habile à l'humilité qu'à la recherche des profits en ressoudant ce que je marquerai comme Unité Universelle.

Il suit d'accord avec l'idée de Bakounine (1814-1876)  dans la mesure ou l'état assomme de part sa constitution et ses prérogatives la société humaine naturelle ( aliène l'individu ) mais admettons que nous nions cet état, alors hormis la loi du plus fort, qui régirez notre ensemble ?

Ce que j'entends par le communisme,c'est d'opposé à cette doctrine un idéal gouvernemental. Plongés dans un nouveau millénaire ou l'Etat ne paraît ineffaçable, trouverions-nous quelques compromis ?

La société des Lumières à remis en cause la place de l'homme dans la société. Ainsi au fil du temps, le " sujet " est devenu " citoyen ", la monarchie à fait place à l'etat.

De cet état constitutif, l'homme perçut comme individu, se réalise pleinement sous contract. Cependant celui ci a omnis un apprentissage de base à ses citoyens " la différence entraîne moins de violence que la similitude ".

A chaque élection ( je prends l'exemple de la ve République ) , vous avez pu apercevoir par des moyens de télécommunications des partis adverses " chassés " sur des territoires d'autres étiquettes politiques quelques mois avant le jour J.

Ceux ci vont discourir sur un socle d'état de nature, reflétant à son auditeur, l'image d'un alignement entre eux. Comme si " on oublier tout et que je vais te promettre telle ou telle chose " afin de combler le nombre d'électeurs au sein de leurs partis (actuellement c'est le cas de Sarkozy avec le FN).

Nous touchons le fond du problème, il faut enlever de la pensée commune la compétition dite " dialectique", promesses interdites ect ..Et ainsi marquer la différence réelle qui subsiste entre les groupes sociaux et accorder à cet écart de l'importance. Une importance non pas péjorative,négative mais qui à pour but une amélioration conséquante des relations humaines.

L'animosité est le pire des maux en politique et son mentor est la violence.